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Déprime ou optimisme
En ces temps de mauvaises nouvelles qui fusent de partout, l’optimisme est une disposition d’esprit utile qui consiste à voir le bon côté des choses (le verre à moitié plein) et à placer assez de bons espoirs dans l’avenir pour avoir envie d’entreprendre.
Un degré supplémentaire d’optimisme consiste même à percevoir derrière l’apparent mauvais côté des choses (le verre à moitié vide) la possibilité que des effets bénéfiques puissent éventuellement en résulter (le champagne pétillant d’un nouveau départ venant combler l’espace vide de la perte).
1 – Une disposition naturelle oubliée
Nous avons en mémoire le « Candide » de Voltaire à l’optimisme indestructible, n’ayant à la bouche qu’une maxime en face de chacun de ses malheurs : « Tout est pour le mieux dans le meilleur des mondes possibles ». Exil, guerre, tremblement de terre de Lisbonne, inquisition, coups, esclavage, rien ne pouvait abattre le moral de ce personnage bien instruit par son Maître Pangloss que « les malheurs particuliers font le bien général ».
Dans un autre genre d’excès, certains au lieu de se déclarer satisfaits des catastrophes qui leur arrivent, prennent le parti de les provoquer en supposant que rien ne peut leur arriver. Trop sûrs d’eux, ils négligent les consignes de sécurité sur la route, prennent des risques inconsidérés en montagne. Tout va bien se passer, je suis bon, je maîtrise. Voilà un excès de confiance en soi qui ne prend pas en considération le contexte, les aléas et circonstances extérieures pouvant survenir à tout moment.
Du moins, ces deux formes d’optimisme font elles des personnages heureux de vivre et entreprenants.
A l’opposé, le pessimisme ambiant qui semble habiter un grand nombre d’esprits aujourd’hui, tout spécialement dans notre pays est remarquable et tout à fait paralysant. Il existe, bien sûr, de nombreuses raisons d’être inquiet, à propos des crises économique, écologique et sanitaire, des tensions internationales, etc. Dans une époque où la croyance en un progrès continu est définitivement enterrée, les perspectives d’enrichissement et d’amélioration du bien-être s’amenuisent et voilà que l’on se retrouve devant un présent peu enchanteur et « sans avenir ». La déprime guette. La dépression n’est pas loin.
Peur de l’avenir ? Peur de perdre ses avantages, son niveau de vie, son confort, ses acquis et manque de projection dans le futur. En résultat, la tendance naturelle est de vouloir projeter ou maintenir de l’identique dans l’avenir, en se fermant au changement, et donc aussi aux perspectives de renouveau. Et comme il n’existe aucune certitude de parvenir à se conserver au formol pendant encore 40 ans, une sourde inquiétude lamine nos forces vives. Nostalgie d’un peuple trop heureux ?
L’absence de vision du futur
Il est difficile d’avancer dans la vie sans une vision ou du moins une espérance du futur. Se projeter dans l’avenir fait partie de l’expérience humaine. Sans motivation, pas d’action.
Le pessimisme peut être une stratégie réussie de ne jamais se mettre personnellement en échec. En n’essayant jamais, en proclamant notre impuissance face aux pouvoirs politique, administratif, économique ou aux difficultés relationnelles, nous sommes gagnants à tous les coups. Cette stratégie qui fonctionne comme une auto-prédiction a cependant peu de chance de nous rendre heureux.
Le pessimisme ralentit les projections vers l’avenir, sauf sous leurs formes les plus négatives. Nous n’osons pas nous imaginer dans le futur, de crainte que notre confiance nous joue des tours ; s’aventurer dans une expérience nouvelle nous paraît un défi trop grand. La peur de l’inconnu nous maintient là où nous sommes puisque le connu est pour nous une forme de sécurité.
Les sentiments d’angoisse, de peur montrent leur utilité dans le court terme ; ils nous évitent de nous précipiter dans n’importe quelle situation sans en envisager les risques éventuels. La peur agit comme un signal d’alarme qui mobilise en nous les réponses permettant d’échapper au danger. Elle débouche cependant sur un répertoire assez limité de comportements : fuite, attaque ou attente qui visent tous à la conservation. Maintenir ce que nous sommes, les structures de l’existence dans lesquelles nous évoluons en terrain connu. Ces trois réactions ne créent rien de nouveau et tendent à nous corseter dans une attitude de crispation, de fermeture.
Dans l’aventure de long terme qu’est la vie en revanche, l’optimisme nous permet d’avancer, de développer de nouvelles stratégies, de nouvelles ressources, des projets, des expériences, de nous rassurer sur notre capacité d’action et de maîtrise. Chaque réussite nous conforte dans notre capacité à être heureux. C’est une façon d’accéder à l’auto-actualisation ou réalisation de soi, finalité de l’expérience humaine selon Maslow ou Jung.
Le sentiment d’une perte de pouvoir
La psychologie positive développée depuis les années 2000 à l’Université de Pennsylvanie insiste sur le rôle des émotions positives pour ouvrir des perspectives nouvelles, permettre la créativité, et faire des gens heureux. La joie, l’enthousiasme, la confiance nous ancrent dans la vie tout en nous donnant l’envie d’avancer.
La théorie de « l’impuissance apprise » développée par Martin Seligman, le principal fondateur de la « psychologie positive », explique que la conviction de ne pouvoir influer sur les événements et sur sa propre vie favorise la dépression. Découragement, voire passivité peuvent s’en suivre. Le pessimisme est une attitude mentale qui tend à voir le futur comme un simple prolongement du présent, et donc à croire, tout comme Pangloss mais avec un effet inverse, que les mêmes causes engendrent les mêmes effets et que donc, ayant échoué à obtenir le succès ou le bonheur dans le passé, je suis condamné à toujours échouer puisque c’est moi qui suis à l’origine de l’échec.
L’optimisme peut être une disposition innée mais il peut aussi s’apprendre en changeant son interprétation du monde. Le pessimisme est en effet moins relié à l’affectif, à l’émotionnel ou aux traumatismes subis qu’il ne l’est au raisonnement, au langage, à la mémoire… Il est en quelque sorte fabriqué au niveau du mental et c’est donc à ce niveau, en réexaminant nos informations et nos perceptions, que l’on peut agir. « Un pessimiste voit la difficulté dans chaque opportunité, un optimiste voit l’opportunité dans chaque difficulté » disait Winston Churchill. C’est bien d’un changement de regard qu’il s’agit.
C’est en définitive dans le présent que l’on fabrique l’optimisme.
2 - Si nous ne montrons pas de disposition naturelle à l’optimisme, du moins pouvons-nous l’acquérir. Comment devient-on optimiste ?
Cultiver notre présence au monde
Cela se passe dans le mental et le mental est dominant chez beaucoup de Français. Mais le mental laissé à lui-même est sec, plutôt ratiocineur, peu inventif. Comme on ne peut pas s’empêcher de penser, le cerveau tourne à vide, mouline les mêmes idées qui tournent en boucle, faute de se transformer en actes qui canaliseraient et calmeraient cette énergie mentale. De neutres et pas très colorées, les pensées deviennent vites grises et puis noires. Et l’on finit par les prendre pour la réalité. On se tourne un film d’horreur et l’on finit par y croire. Sûrement les choses vont se passer comme cela, ça va être affreux, certainement, je vous le dis… Bref, la déprime guette.
Alors, avant que la déprime ne s’installe, il est conseillé d’introduire une petite dose de cœur dans le mental pour donner de la couleur, de la substance, produire des pensées nutritives. Porter une attention plus soutenue à des ressentis agréables, bouger, rentrer dans son corps, danser, faire quelque chose qui nous donne le plaisir simple et immédiat de la maîtrise de nos mouvements…
Ou bien si le temps des loisirs vous manque, concentrez-vous sur une tâche que vous êtes en train d’accomplir : préparer un repas, peindre, bricoler. Soyez pleinement présent à ce que vous faites, au progrès de l’action en cours, à la couleur et à la consistance des légumes que vous épluchez pour votre salade, aux pigments que vous assemblez sur votre palette, à la lisse dureté du manche de l’outil… jusqu’à être pleinement présent et en éprouver une véritable satisfaction.
La présence totale au présent est un moment plein et positif qui annihile l’angoisse d’un futur à venir ou l’obsession d’un passé qui devrait être… passé.
Cultiver des émotions positives
Les émotions positives telles l’espoir, l’enthousiasme, la joie, ouvrent de larges fenêtres sur le monde. Elles pacifient le cœur et ouvrent l’esprit qui se montre dès lors plus apte à percevoir les opportunités qui se présentent et plus apte à opérer des choix constructifs et positifs pour son avenir. L’accès à nos ressources s’en trouve facilité, et nos actions feront preuve d’un répertoire infiniment plus divers.
Poser le verre à demi vide et ouvrir la fenêtre de son esprit à l’air frais du dehors, absorber les rayons de soleil dans tout notre organisme, revenir à la vie.
La crise a tué la croyance dans le progrès développée par l’Occident depuis les philosophes des Lumières ? A bien y regarder, cependant, cette croyance reposait sur la confiance dans l’aptitude de l’être humain à faire son propre bonheur et à s’améliorer. Il n’existe donc pas de raison valable d’y renoncer.
Trois clés utiles pour cultiver cette aptitude au bonheur :
. La première clé consiste à se demander ce que l’on souhaite obtenir de notre vie. Choisir de préférence quelque chose d’agréable ou de désirable, dont la réalisation ne dépend que de nous. Pour éviter les déconvenues, il est de bonne stratégie de « ne mettre d’espoir qu’en soi-même » disait Virgile.
. La seconde clé est de faire un premier pas pour l’obtenir. Chaque succès alimente l’optimisme et la motivation pour continuer. Et chaque pas, même s’il constitue un relatif échec, nous prouve au moins notre capacité à agir sur la réalité.
. Et la troisième clé consiste à … continuer, persévérer car « l’espoir est le pilier du monde », dit un proverbe africain. L’optimiste ne tire jamais de conclusions définitives du désastre du présent. Il continue sa route et l’espoir est son moteur.
Et trois petites techniques :
- sourire à la vie, comme le font les enfants à la découverte d’un visage nouveau. Copier leur aptitude à la curiosité et à la joie de la découverte.
- choisir des attitudes physiques d’ouverture :
Voir « J’ai failli foirer ma vie »: http://www.youtube.com/watch?v=mYrvRJMIAQE
- défier nos perceptions, puisque notre réalité est celle que nous nous construisons. La physique quantique affirme que le regard de l’observateur est déterminant, il peut changer une particule en onde. Testons :
« C’est la crise, rien ne va plus ! »
. Rien ne va plus, vraiment ? partout ? toujours ?
. N’y a- t-il pas quelque chose qui a bien en moi ou autour de moi ?
. Et dans ce que je déplore, qu’est-ce qui pourrait aller mieux si moi et mes alliés, partenaires, etc, apportaient leur savoir-faire, leur enthousiasme, leur espoir, leur ambition ?
L’optimisme est une attitude active et courageuse. Plutôt que de tout attendre des autres et de la vie, et de déprimer si on n’obtient pas ce que l’on espère, l’optimiste opte pour une confiance délibérée dans les retournements de l’histoire, appuyée sur des actions concrètes, susceptibles d’infléchir la situation vers une issue positive. Il développe confiance et enthousiasme à aller de l’avant.
Regardez bien, il y a toujours quelque chose à faire pour que les choses aillent mieux.
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Le COACHING pour quoi faire ?
Le coaching est un accompagnement au changement. Quand une personne ou une organisation se heurte à des difficultés récurrentes, perçoit la nécessité de changer quelque chose dans son mode d’être ou de fonctionnement mais n’y parvient pas seule, elle peut se faire aider par un coach.
Un coach n’est ni un thérapeute ni un conseiller vous proposant des solutions. Un coach est là pour vous aider à voir clair dans ce qui se passe pour vous, à clarifier les émotions et les enjeux en présence, à formuler des objectifs précis et les atteindre. Il peut intervenir en une fois ou sur une dizaine de séances, selon les enjeux et, toujours, en accord avec son client.
Cet accompagnement permet de réaliser des transformations à différents niveaux.
Au niveau de la vision du monde qu’a développé une personne
Les mécanismes d’une dynamique de changement sont multiples. On peut s’intéresser aux perceptions et croyances d’une personne en ce qu’elles introduisent des biais dans l’appréhension et le « traitement » d’une situation. Généralement on s’y intéresse quand ces ouvertures sur le monde ferment plus de portes qu’elles n’en ouvrent. On appelle cela des croyances limitantes. Ce sont des présupposés, des affirmations qui nous ont été transmises le plus souvent dès l’enfance et que nous tenons pour vraies car à l’époque nous ne possédions pas les moyens de les remettre en cause. Il se peut d’ailleurs que ces perceptions et croyances nous aient été d’une grande aide à un quelconque moment de notre existence et peut-être même jusqu’à aujourd’hui.
Mais la vie est évolution et il peut s’avérer utile de les reconsidérer avec un regard d’adulte.
Le coaching est là pour servir de miroir et renvoyer à la personne un questionnement sur ses affirmations et sa vision du monde. C’est un processus respectueux de la personne, où le coach ne se substitue pas au coaché, n’impose ni ne critique. Il fournit simplement l’opportunité d’une éventuelle remise en cause des cadres de référence sur lesquels tout un chacun construit sa vie.
Au niveau de la perception qu’a la personne de ses capacités d’action
Estime de soi, confiance en soi et affirmation de soi sont les fondements d’une vie réussie dont les critères, pour n’être pas absolument objectifs, sont néanmoins parfaitement mesurables : le sentiment de développer son plein potentiel, de réaliser ses buts dans la vie d’une manière satisfaisante et sans trop de stress, la capacité de faire face à des situations variées, tous ces critères contribuent au sentiment global de réalisation de soi. C’est ce qui permettra à tout un chacun d’évaluer s’il a eu une vie réussie, pleine, dont il peut être fier.
Aider la personne à prendre conscience de ses points forts, à minimiser ses risques d’échec constitue le b.a.ba du coaching. L’accompagner dans la prise en compte de ses priorités et dans son accomplissement personnel vient renforcer ces acquis.
Au niveau de la résistance au stress
Aujourd’hui, la crise a remis en cause bien des secteurs de la vie économique, bouleversé les rapports sociaux, introduit l’incertitude dans les carrières professionnelles, augmenté la prise de risque des entreprises, pesant d’autant plus sur le moral et la capacité de résistance au stress individuel.
Le déclin de nos industries européennes, la mondialisation, font peser risques, incertitudes et stress autant sur les salariés que sur les cadres dirigeants. Le stress et le burn-out sont actuellement les états les plus répandus dans le monde du travail.
Se faire accompagner par un coach pour prendre de la distance et inventer de nouvelles réponses face à la situation-problème permet de sortir plus fort d’une crise de ce genre.
Au niveau des relations
Le bouleversement des modes de vie traditionnels, l’éclatement de la cellule familiale, l’individualisation conçue comme mode de vie, rendent les relations interpersonnelles à la fois plus fortes et plus fragiles. Plus fortes car elles sont supposées être choisies, voulues et reposer sur un enrichissement mutuel. Plus fragiles car elles s’accompagnent parfois d’une volonté de se débarrasser de toute contrainte, et de la liberté de choisir à tout moment d’entrer dans d’autres types de relations. Le couple et la famille sont particulièrement impactés.
Le domaine des relations est particulièrement important car c’est dans les relations que l’on trouve traditionnellement le plaisir et le bonheur partagés, mais aussi le soutien dans les coups durs. Quand les relations font défaut, les heurts de la vie paraissent plus difficiles à surmonter.
Dans ce cas de figure, un coach aide à retrouver des repères, à dépasser la colère et le ressentiment pour réinventer des relations nouvelles ou plus satisfaisantes. De la sorte, là où le cercle d’amis proches ne verrait que drame et l’intéressé que désespoir, la crise du couple ou une rupture bien accompagnée peuvent ouvrir de nouveaux horizons.
Le coaching de passage
Les sociétés traditionnelles prévoyaient des rites de passage ou transitions de l’enfance à la vie adulte. Ces épreuves pouvaient être douloureuses, confronter le jeune adolescent à la peur de la souffrance, à la terreur de l’inconnu, au poids des attentes de la société adulte, au refus peut-être d’abandonner l’insouciance de l’enfance pour entrer sur le territoire adulte des devoirs et responsabilités.
Rien de tel de nos jours où seule l’entrée dans la vie professionnelle constitue une rupture de l’adolescence à la vie adulte. Pour autant il revient à chaque personne de trouver en elle-même les ressources intérieures pour aborder chaque étape de sa vie professionnelle et personnelle dans un environnement social déstructuré et globalement peu « aidant ».
C’est ainsi qu’il existe des étapes dans la vie qui réveillent des sentiments d’impuissance et de peur d’échouer. Epreuves ou challenges professionnels, problèmes de santé, difficultés relationnelles où l’on se sent seul et désarmé. Et pourtant, d’une certaine manière, ces situations sont là pour nous faire franchir une étape, pour nous inciter à puiser en nous une ressource nouvelle.
Voir également le « Coaching Rapide »)
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Le Coaching Rapide
Les étapes de passage se présentent souvent avec un caractère d’urgence et de contrainte fortes. Elles surgissent comme la barrière en travers du chemin d’un cheval au galop. Deux choix se présentent à nous : sauter ou se dérober.
Si l’on rassemble ses énergies pour sauter, on gagne une victoire sur soi-même en dépassant ses limites. Si l’on fait un écart pour échapper à l’obstacle, on reste dans les limites du connu, de l’habitude et l’on n’a pas progressé.
Le Coaching Rapide est désigné spécialement pour passer ces obstacles ponctuels et soudains dans notre vie personnelle ou professionnelle.
Comment cela fonctionne-t-il ?
Vous identifiez l’obstacle ou la difficulté sur votre chemin de vie. Nous allons rechercher en vous la ressource nécessaire. J’utilise pour cela des techniques rapides et légères comme la PNL, l’hypnose Eriksonienne (*) et la méditation pour désamorcer l’angoisse et donner accès à des solutions innovantes. En relâchant les freins de la peur et du contrôle, l’inconscient trouve spontanément la ressource interne spécifique qui lui permettra de faire face.
Il ne reste plus qu’à « implanter » cette ressource solidement dans l’esprit, à en épanouir le parfum et les modalités pour la rendre parfaitement présente, réelle.
Un dernier test pour contrôler son efficacité dans la situation à venir et vous voilà prêt à passer l’obstacle.
Combien de temps dure la séance de coaching ?
C’est rapide, 30 minutes y suffisent.
Rapidité et efficacité sont-elles compatibles ?
Oui, c’est possible. Dans la vie, il y a des moments où l’on a besoin d’un coup de pouce pour affronter une situation. Un entretien professionnel aux enjeux importants, une prise de parole en public, une mauvaise nouvelle à gérer, l’appréhension d’un coup dur…
Il n’est pas toujours nécessaire de s’interroger longuement sur l’origine d’une angoisse.
Il suffit de cerner précisément la situation à venir.
Au travers du coaching rapide, je vous guide ensuite pour trouver en vous une solution spécifique. Elle est là qui vous attend, soyez-en sûr. Nous procédons ensuite au renforcement de cette solution et à son intégration et vérifions si elle fonctionne.
C’est joyeux, on repart renforcé, plein d’allant
C’est décoiffant, c’est nouveau, une solution clé en main à laquelle vous n’auriez pas pensé.
Vous pouvez également consulter la page "le coaching pourquoi faire?"